Sylvie Pons interviewée dans Tourmag

Sylvie Pons, fondatrice et directrice de Makila Voyages répond sans langue de bois aux questions de Tourmag, le ou l’un des plus importants magazines de professionnels du tourisme. Sylvie ne calcule pas, elle dit ce qu’elle pense, au risque de mettre peut-être les pieds dans le plat.

Après l’introduction de Tourmag :

« Installé à deux pas du musée du Louvre, Makila Voyages propose depuis près de 17 ans des séjours sur-mesure dans le monde entier, et plus particulièrement en Afrique Australe. Sylvie Pons a monté cette agence avec son mari, un ancien ranger. C’est une femme bien occupée et pourtant peu avare de son temps. Surtout avec ses clients qu’elle bichonne avec attention, au point d’aller elle-même récupérer des bagages perdus à Roissy. Un service de qualité et personnalisé qui plait aux voyageurs, particulièrement fidèles. Au fil du temps, Sylvie Pons a tissé un réseau de partenaires solides et sérieux pour créer à chaque fois un voyage différent. Une production haute couture que même Jean-François Rial, le patron de Voyageurs du Monde lui envie. »

Sylvie Pons Directrice de Makila Voyages

Une interviewée débridée… morceaux choisis :

« Nous éditons une sorte de guide, qui ressemble à une brochure, sauf qu’il n’y a pas d’itinéraires, encore moins de tarifs. Nous présentons simplement chaque destination, avec ses incontournables, ses inattendus et ses insolites. »

« Internet est une vitrine, nous sommes obligés d’y mettre une production avec des mots-clés et des prix pour le référencement. Mais je ne vends jamais aucun produit tout fait. »

« Aucun devis ne ressemble à l’autre, c’est un véritable travail d’artisanat. Une fois le circuit déterminé, le client le reçoit sous forme d’un carnet de voyage, avec quelques cadeaux, comme un sac, un lexique animalier, un carnet pour les enfants… »

A la question « Quel est le profil de votre clientèle ? » elle répond « Pas mal d’habitués : près de 80% sont des fidèles. » 

Et Sylvie de conclure « D’une manière générale, je crois que notre profession devrait travailler comme les concierges clés d’or dans les palaces, pour offrir le meilleur service possible. »  Makila, la différence ?

Lire l’intégralité de l’article rédigé par Laury-Anne CHOLEZ (Lundi 29 Octobre 2012)

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